Un an après sa parution, "Quand Cécile" (Le Seuil) va voyager un peu.
Nous avons besoin, plus que jamais, d'un imaginaire européen susceptible de nous donner de l'espoir. Un imaginaire qui, parce qu'il chérit la diversité des cultures et des langues, et connait la valeur du bien commun, a pour but d'offrir bien plus que "les dividendes de la paix". C'est dire si je suis vraiment très heureux de figurer sur cette liste.